Fin de luttes est un pas de deux pour circassiens. Une performance où les corps se mettent en quête d’un état de grâce. Répondre à une attaque ou triompher de l’autre.

Dans une célébration des corps en tension où le sacré prend place dans la sueur, le sang, la peur et la violence des coups portés et reçus.

Ce corps à corps raconte à la fois, l’altérité, le rapport à soi, entre virilité et sensualité. Les deux interprètes masculins cherchent ce moment ténu où la puissance laisse place à la fragilité.

Dans le contexte actuel, le mot lutte est fort de sens et se pare d’une multitude de visages.

Si l’on observe ce(ux) qui nous entoure, notre quotidien est peuplé de corps à corps : par jeu, par nécessité, par rivalité, par plaisir… pour soi, contre l’autre… comme un argument à la survie.