La Compagnie du Sabir est une compagnie de théâtre née en 2018 et basée à Lyon.
Le Sabir : langue composée de plusieurs langues et qui n’est la langue maternelle de personne : c’est une langue de relation utilisée entre des locuteurs ne parlant pas la même langue et placés devant la nécessité de communiquer. C’est aussi un synonyme de charabia (langue incompréhensible).
Les projets de La Compagnie du Sabir ont ce point commun d’aborder des thématiques qui questionnent les non-dits de notre imaginaire collectif : la dépression avec 4.48 PSYCHOSE, notre rapport à l’espace quotidien avec DÉRIVE, et notre rapport à l’étranger avec DÉPAYSER.
Le processus de création des projets inclut une phase de recherche, ce qui peut amener l’équipe artistique à rencontrer différents publics, toujours dans une relation d’échanges. La Compagnie du Sabir voit chaque moment de théâtre comme l’occasion de déplacer son point de vue et porter un regard sensible, au présent, sur ce qui nous semble d’abord incompréhensible. Les créations du Sabir offrent au spectateur.ice une expérience commune dont l’interprétation reste propre à chacun.e.
GROUPE NUITS nait en 2018 sous l’impulsion d’Astrid et de Raphaël, avec l’envie de mêler leurs pratiques respectives, cirque & danse.
Installé dans le département de l’Ain, groupe nuits s’implante durablement et crée un lien avec son territoire. Il se donne une responsabilité en tant que compagnie, de développer, de transmettre et de proposer des projets chorégraphiques, pour inventer de nouvelles passerelles entre la création et la médiation.
Iels débutent ainsi leur première pièce EMMÊLER mêlant danse, cirque et musique avec Romain Joubert à leurs côtés. Dans un même temps nait l’idée de BRUT. qui explore la cohabitation d’individus dans un acte collectif : construire. Invitant cette fois-ci danse, cirque, musique et architecture au coeur de la cité.
Groupe nuits développe, avant tout, des aventures chorégraphiques où il est question d’humain(s), de relation, d’altérité, de jeu. Chaque projet se confronte à de multiples champs artistiques, s’adapte à l’environnement, aux espaces, terrains de jeu, questionne le format et la relation au public.
Le groupe développe également des créations partagées (spectacles ancrés sur un territoire, où les habitants prennent part au processus de création). La question du partage se trouve au cœur du projet, la rencontre entre amateur.ices et artistes de la compagnie, est source de créativité et d’inspiration.
Par ailleurs, groupe nuits continue d’organiser d’autres projets tels que le festival T’en veux en corps ? festival indiscipliné de danse contemporaine, co-réalisé depuis 2017 avec le théâtre de Bourg-en-Bresse, scène conventionnée et de nombreux autres partenaires locaux (cinéma d’art et d’essai, Le cinémateur, la SMAC la Tannerie, la MJC, le ZOOM…). Le groupe souhaite mettre en lumière la création émergente, les auteur.ices chorégraphiques de la nouvelle génération dans leurs pluralités.
Formée au Centre National des Arts du Cirque, Julie Tavert suit un parcours pluridisciplinaire d’acrodanseuse, comédienne du corps, depuis dix ans. Elle développe une expérience d’interprète auprès de nombreux metteur.se.s en scène et chorégraphes comme Fabrice Melquiot, Nedjma Benchaib, Gilles Baron, et actuellement, Mathurin Bolze avec Les Hauts plateaux.
Avec la co-création de deux solos – Je suis nombreuse (2015) – avec la metteuse en scène Charlotte Lagrange et – Souffle (2016) – avec la chorégraphe circassienne Florence Caillon, elle déploie une acrobatie chorégraphique qui déplace les critères de la performance.
Parallèlement, elle enrichit sa pratique par la transmission de sa vision de l’acrodanse auprès de circassien.ne.s et danseur.se.s professionnel.le.s. L’acrodanse est son territoire de recherche et de réflexion privilégié, qu’elle partage avec Femmes de Crobatie, collective qu’elle fonde en 2017 avec d’autres acrobates-danseuses.
Pour répondre au désir persistant de rassembler ses expériences, de poursuivre son travail chorégraphique et de porter sa propre voix, elle entame sa première création en tant qu’autrice et porteuse de projet : Automne. Elle crée sa compagnie La NeKuia pour accompagner cette création, et prendre part aux renouvellements des formes d’écritures dans l’acrodanse mais aussi pour développer, promouvoir et visibiliser la création féminine.
La compagnie Matière Mobile vient de voir le jour à Lyon et est en cours de structuration. Elle représente le travail de Marie Gourdain sur le territoire français. Elle a pour but de soutenir et de développer son travail chorégraphique.
Après avoir résidé de nombreuses années en République tchèque où elle a entamé son travail théâtral au sein du collectif tYhle, Marie poursuit aujourd’hui sa carrière en développant une base en France, focalisée sur sa démarche individuelle.
Son expérience de vie à l’étranger, immergée dans une autre culture, lui a permis de développer un esprit d’ouverture et d’initiative.
En s’implantant dans la région Rhône Alpes, à laquelle elle est très attachée, elle souhaite développer un nouveau pan de son travail sans pourtant oublier les liens qu’elle a créés en Europe et l’enrichissement des collaborations internationales.
La Compagnie du Sabir est une compagnie de théâtre née en 2018 et basée à Lyon.
Le Sabir : langue composée de plusieurs langues et qui n’est la langue maternelle de personne : c’est une langue de relation utilisée entre des locuteurs ne parlant pas la même langue et placés devant la nécessité de communiquer. C’est aussi un synonyme de charabia (langue incompréhensible).
Les projets de La Compagnie du Sabir ont ce point commun d’aborder des thématiques qui questionnent les non-dits de notre imaginaire collectif : la dépression avec 4.48 PSYCHOSE, notre rapport à l’espace quotidien avec DÉRIVE, et notre rapport à l’étranger avec DÉPAYSER.
Le processus de création des projets inclut une phase de recherche, ce qui peut amener l’équipe artistique à rencontrer différents publics, toujours dans une relation d’échanges. La Compagnie du Sabir voit chaque moment de théâtre comme l’occasion de déplacer son point de vue et porter un regard sensible, au présent, sur ce qui nous semble d’abord incompréhensible. Les créations du Sabir offrent au spectateur.ice une expérience commune dont l’interprétation reste propre à chacun.e.
GROUPE NUITS nait en 2018 sous l’impulsion d’Astrid et de Raphaël, avec l’envie de mêler leurs pratiques respectives, cirque & danse.
Installé dans le département de l’Ain, groupe nuits s’implante durablement et crée un lien avec son territoire. Il se donne une responsabilité en tant que compagnie, de développer, de transmettre et de proposer des projets chorégraphiques, pour inventer de nouvelles passerelles entre la création et la médiation.
Iels débutent ainsi leur première pièce EMMÊLER mêlant danse, cirque et musique avec Romain Joubert à leurs côtés. Dans un même temps nait l’idée de BRUT. qui explore la cohabitation d’individus dans un acte collectif : construire. Invitant cette fois-ci danse, cirque, musique et architecture au coeur de la cité.
Groupe nuits développe, avant tout, des aventures chorégraphiques où il est question d’humain(s), de relation, d’altérité, de jeu. Chaque projet se confronte à de multiples champs artistiques, s’adapte à l’environnement, aux espaces, terrains de jeu, questionne le format et la relation au public.
Le groupe développe également des créations partagées (spectacles ancrés sur un territoire, où les habitants prennent part au processus de création). La question du partage se trouve au cœur du projet, la rencontre entre amateur.ices et artistes de la compagnie, est source de créativité et d’inspiration.
Par ailleurs, groupe nuits continue d’organiser d’autres projets tels que le festival T’en veux en corps ? festival indiscipliné de danse contemporaine, co-réalisé depuis 2017 avec le théâtre de Bourg-en-Bresse, scène conventionnée et de nombreux autres partenaires locaux (cinéma d’art et d’essai, Le cinémateur, la SMAC la Tannerie, la MJC, le ZOOM…). Le groupe souhaite mettre en lumière la création émergente, les auteur.ices chorégraphiques de la nouvelle génération dans leurs pluralités.
Formée au Centre National des Arts du Cirque, Julie Tavert suit un parcours pluridisciplinaire d’acrodanseuse, comédienne du corps, depuis dix ans. Elle développe une expérience d’interprète auprès de nombreux metteur.se.s en scène et chorégraphes comme Fabrice Melquiot, Nedjma Benchaib, Gilles Baron, et actuellement, Mathurin Bolze avec Les Hauts plateaux.
Avec la co-création de deux solos – Je suis nombreuse (2015) – avec la metteuse en scène Charlotte Lagrange et – Souffle (2016) – avec la chorégraphe circassienne Florence Caillon, elle déploie une acrobatie chorégraphique qui déplace les critères de la performance.
Parallèlement, elle enrichit sa pratique par la transmission de sa vision de l’acrodanse auprès de circassien.ne.s et danseur.se.s professionnel.le.s. L’acrodanse est son territoire de recherche et de réflexion privilégié, qu’elle partage avec Femmes de Crobatie, collective qu’elle fonde en 2017 avec d’autres acrobates-danseuses.
Pour répondre au désir persistant de rassembler ses expériences, de poursuivre son travail chorégraphique et de porter sa propre voix, elle entame sa première création en tant qu’autrice et porteuse de projet : Automne. Elle crée sa compagnie La NeKuia pour accompagner cette création, et prendre part aux renouvellements des formes d’écritures dans l’acrodanse mais aussi pour développer, promouvoir et visibiliser la création féminine.
La compagnie Matière Mobile vient de voir le jour à Lyon et est en cours de structuration. Elle représente le travail de Marie Gourdain sur le territoire français. Elle a pour but de soutenir et de développer son travail chorégraphique.
Après avoir résidé de nombreuses années en République tchèque où elle a entamé son travail théâtral au sein du collectif tYhle, Marie poursuit aujourd’hui sa carrière en développant une base en France, focalisée sur sa démarche individuelle.
Son expérience de vie à l’étranger, immergée dans une autre culture, lui a permis de développer un esprit d’ouverture et d’initiative.
En s’implantant dans la région Rhône Alpes, à laquelle elle est très attachée, elle souhaite développer un nouveau pan de son travail sans pourtant oublier les liens qu’elle a créés en Europe et l’enrichissement des collaborations internationales.